Marcel Martineau a été gardien du stade Lescure de 1943 à 1964. M. Duvert (à droite) était gardien du stade annexe. Robert, l'enfant, est le fils aîné de Marcel.
Marcel avec le gardien de police municipale surveillant le quartier des coureurs et un contrôleur avec ses clés.
À gauche le contrôleur chargé d'ouvrir et de fermer les vestiaires. Marcel et à sa droite Aimé Gori milieu de terrain des Girondins.
Marcel entouré de Lucien Mias et Alfred Roques, deux internationaux de rugby.
Marcel était très connu au stade Lescure. Il a eu même droit à sa caricature.
Charles Martineau le second fils de Marcel, accompagnait souvent son père dans ses tâches quotidiennes. À l'arrière, son grand frère.
Passionné de football, le jeune Charles s'entrainait sur la pelouse du stade qu'il avait pour lui tout seul !
Gardien du stade quelles que soient les conditions météo !
Marcel sur sa moto... bien pratique pour faire le tour du stade !
Marcel avait le droit de rester sur le banc à l'occasion des différents matchs. En partant de la gauche André Moga (3e) et Marcel (6e) sur le banc des Béglais.
Marcel sur le banc avec le public vraiment très proche.
Marcel sur la pelouse avec les coureurs cyclistes qu'il retrouvait chaque week-end. Près de lui sur un banc, « Toto » Gerardin, l’un des meilleurs sprinters français de l’après -guerre, futur entraîneur national.
Marcel dans la tribune officielle pour remettre la coupe.
Marcel tenait son bar dans le quartier des coureurs. Il observe attentivement le trophée Yves Du Manoir de rugby.
Passionné de sports et de tauromachie, il allait très souvent aux arènes du Bouscat.
Mme Martineau tenait sa buvette au virage nord tandis que Marcel avait la sienne dans le quartier des coureurs.
C'est Marcel, parfois aidé d'un de ses fils, qui portait les quartiers de citrons ou d'oranges aux joueurs.
L'hiver ce pouvait être du thé chaud.
Marcel était très souvent sollcité comme brancardier.
Marcel (devant) aide Bakrim (derrière) à transporter un blessé.
Les joueurs Kargu (à gauche) et Louis (à droite) accompagnent un joueur blessé. (saison 57-58)
Pas de brancardier officiel : tout le monde s'y mettait.
Marcel assiste à une scène étonnante de nos jours : il fallait clouer les crampons en cuir sur les chaussures des joueurs.
Marcel était lui aussi souvent sollicité pour clouer les crampons surtout quand le terrain était gras.
Marcel n'hésitait pas à donner un coup de main à son collègue du stade annexe.
Plaisanterie de fin de match.
Marcel accroupi sourit de voir le champion cycliste Serge Lapébie sur un grand bi. À droite, le speaker des courses, le directeur du stade et le fils de Lapébie.
Tous les joueurs appréciaient Marcel Martineau. Une reconnaissance unanime visible sur cette photo dédicacée par les Girondins champions de France. Merci à la famille Martineau pour toutes ces photos.