Situé à 200 km de New-Dehli, le parc de Ranthambore a une superficie de 282 km². Il est réputé être l'un des lieux où l'on peut le mieux observer la vie sauvage en Inde.
Un banyan. Le nom vient de l'Inde où les premiers voyageurs observèrent que l'ombre de cet arbre était fréquentée par les Banias ou commerçants indiens
Le banyan a des racines aériennes absorbant l'humidité atmosphérique. Elles s'enracinent ensuite dans le sol donnant de nouveaux sujets.
Premier animal à nous accueillir les sabots sur terre...
Premier oiseau...
Premiers crocodiles se dorant au soleil.
Troupeau de chitals en train de paître.
Jeune faon chital traversant tranquillement notre chemin.
Oiseau en vol mais pour aller où ?
Retrouver peut-être la pie indienne très familière dan sla région.
Elle n'a pas peur des nombreux touristes dans le parc.
Deux cerfs axis ou Chital et une biche. Ce sont des cervidés présents naturellement dans les régions boisées de l'Inde.
Trois cormorans au bain.
Patience de héron.
L'envol d'un cormoran.
Le cormoran n'ayant pas graisse sur ses plumes comme les canards par exemple, est obligé de faire sécher ses plumes au soleil. Cela prend du temps !
Dans ce parc, de nombreux points d'eau rassemblent une variété d'espèces animales.
Au premier plan, des perdrix se confondent avec le sol échappant ainsi parfois aux nombreux prédateurs.
Crocodile en train de réfléchir à petit-déjeuner. Quelle proie ce sera ce matin ?
Des paysages sauvages.
Un paon mâle près à s'envoler... Mais pour aller où ?
Envol majestueux et...
atterrissage près de trois femelles ! Super mais il y a un autre mâle !
Hé ! Mesdames vous avez-vu cette belle roue que je suis en train de faire pour vous ?
Les arbres ne sont pas réservés uniquement qu'aux oiseaux !
Singes entelles. Ils sont arboricoles et mangeur de feuilles.
Mais ils sont capables de sauter dans les camions à touristes pour leur chiper de quoi manger.
Certains Hindous laissent ces animaux sacrés partager leur pique-nique ou se servir dans leurs jardins.
Les chitals font partie des proies potentielles du tigre. Mais que regardent-elles ?...
Ce n'était qu'un sanglier solitaire.
Variété de martin-pêcheur ? Une des 262 variétés d'oiseaux recencées dans ce parc.
Le mainate des Indes, dont le nom est dérivé d'un mot sanskrit "joyeux", est utile en Inde car il se nourrit des insectes nuisibles dans les cultures.
Le nom "chital" vient de l'hindi cītal, issu du sanskrit citrala voulant dire "avec des taches"
Il vit en groupe de 10 à 60 individus incluant en général 2 ou 3 mâles.
Les bois des cerfs axis (ou chitals) sont fins et mesurent de 50 à 90 cm selon les individus. Ils sont peu ramifiés. Ils peuvent tomber à n'importe quelle saison.
Rencontre avec une antilope Nilgaut, un magnifique mâle solitaire.
Le nilgaut est la plus grande antilope indienne. Il a les sens aiguisés lui permettant de fuir les prédateurs et notamment le tigre.
Curiosité végétale. Un palmier poussant perpendiculairement aux racines d'un banyan.
C'est l'un des cinq parcs naturels que compte cet État du nord-ouest de l'Inde. Il a été créé en 1980 et offre des paysages de lacs et de falaises sur une superficie de 395 km².
Le parc a une forte attractivé touristique. Il faut 2 à 3 safaris pour avoir une chance d'apercevoir un des 60 tigres du parc de Ranthambore.
Apparemment, le TIGRE est là ! Il faut patienter... ce sera à chaque véhicule de laisser la place au suivant. Patientons.
De nos jours, la réserve de tigres de Ranthambore couvre une superficie de 1 334 km² dont 400 km² sont ouverts aux safaris. Un des 60 tigres du parc est là... sous cet arbre !
Mais il dort ! Il a dû avaler une des nombreuses jeunes gazelles du parc. Il digère.
Demi-frustation seulement. Le guide nous avait annoncé que la veille 60% des touristes n'avaient pas vu le tigre du Bengale dans ce parc !