Achevé en 1509, l'Hôtel de ville de Saint-Quentin a été construit dans le style gothique flamboyant. Le campanile est doté de 37 cloches.
La façade est ornée de 173 sculptures.
Tout au fond de la rue à gauche, la basilique Saint-Quentin abrite les reliques du saint.
A l’angle de la rue Saint-André, le premier immeuble, la maison des Corporations a été reconstruite dans un pur style Art déco : lignes verticales, frontons massifs, et bow-windows
C'est la briquette qui domine dans la reconstruction de cet immeuble détruit pendant la Première Guerre.
Encore un bâtiment mettant en valeur un bow-window.
Imposante façade d'une verticalité affirmée.
Puissante lucarne-pignon intégrant un balcon et une loggia.
Médaillon sculpté représentant le Commerce de Raoul Josset.
L'ancienne Chambre de commerce de la ville a été reconstruite dans un éclectisme mélant la Renaissance et le gothique.
À l’Espace Saint-Jacques, se dressent les anciennes Nouvelles Galeries avec ses 2 curieux "phares du commerce".
La façade Art Déco est richement décorée de fleurs stylisées.
Même les nouveaux équipements sont de style néo-art-déco.
Groupe scolaire construit en 1926-27 avec un beau travail sur l'utilisation de la briquette.
Frise Art Déco très florale.
Décoration en méplat au fronton de la façade.
Construite en 1929 à l’emplacement de la maison natale de Maurice-Quentin de La Tour, la Poste est de l’architecte lillois René F. Delannoy.
Un fronton très "réveil Art Déco" qui contraste avec l'entrée arrondie plutôt romane.
Dans le halld’entrée, autour d’un lustre typiquement Art Déco, se répartissent deux groupes de trois panneaux de mosaïque évoquant les moyens de communication anciens et modernes.
La délicate façade du bar de Lyon date de 1924...
avec une alternance de briques rouges et d'enduit blanc.
Corbeille florale stylisée au fronton.
La façade de la salle de spectacle Le Carillon reconstruit classiquement en 1920 a été rénovée en 1931.
Une large baie à pans coupés avec un bas-relief en demi pastille de Vichy.
Le nom de la salle est écrit sur un motif floral et de cloches.
Les anciennes Nouvelles Galeries où le béton s'exprime à son maximum.
Large ferronnerie de balcon de style Art Déco.
Sur un îlot ravagé par la guerre, la Ville érige en 1928 les Bains-douches municipaux.
C'est toujours l'architecte Louis Guindez qui dessine ce bâtiment en briques.
Pour rentrer dans les Bains-Douches, passage obligatoire sous une pergola.
Éclectisme à dominante Art Déco avec brique pierre et ardoise.
Une particularité sur la façade Art Déco, c'est la couleur des décorations.
Sur la façade du nouveau conservatoire de musique, les bow-windows sont à l’honneur. 3 pignons évoquent l'architecture flamande.
Une paroi de verre permet un éclairage maximal des classes.
Le bâtiment construit en 1929 est un écho de l’hôtel de ville.
L'arc segmentaire de la porte d'entrée où alternent la brique et le béton.
La gare a été reconstruite en 1926 et sa façade n'a pas bougé.
La marquise moderne à l'époque est décorée de spirales.
À l'intérieur d'une étroite travée datant de 1925, Jules Arduin propose 3 habiles baies courbes.
Ferronnerie très florale.
Au 19-21 rue de la sous-préfecture, Louis Guindez réalise un ensemble-atelier-habitation...
Raffinement du décor floral sur les sculptures en méplat ainsi que sur les ferronneries.
Au n°33, l’architecte Jules Arduin réalise en 1929 l’une de ses réalisations ArtDéco les plus abouties.
Les fers forgés s’inspirent librement du célèbre motif «Oasis» du grand maître ferronnier Edgar Brandt.
Dans la basilique gothique Saint-Quentin, deux chapelles opposées ont des vitraux de style Art Déco.
Ils datent de 1931-1932... Ici Sainte Thérèse patronne des missionnaires et des soldats.
La rose stylisée se retrouve sur l’un de ces vitraux.
La criée municipale bâtie en 1928, un marché aux poissons de style Art Déco moderniste.