Il est 8 heures du matin près du VVF de Claoueys. C'est le lieu de rendez-vous d'une battue au chevreuil.
Seuls les chasseurs ayant paraphé le carnet de battues pourront participer à la battue.
Les commentaires vont bon train. On parle de chasse bien sûr !
La stratégie de chasse est annoncée par le chef de battue.
Le chef d'équipe lit les consignes de sécurité.
Le 4x4 est obligatoire pour se rendre sur le lieu de la battue.
Le talkie-walkie est bien paratique pour la msie en place.
Avec le fusil, tout chasseur doit avoir son gilet fluorescent et sa trompe.
Les chiens sont enfin libérés.
Chaque équipe rejoint son poste.
Des traces...
Il faut trouver la trace du chevreuil.
Les traqueurs s'engagent dans la forêt.
Cherche mon chien, cherche !
Le chasseur doit se déplacer en fonction de la traque des chiens.
Soudain, un coup de fusil claque dans le silence.
L'animal a bien été tué. Ce n'est pas toujours le cas.
Le garde-chasse assermenté va poser le "collier" obligatoire.
Les chiens sont à nouveau dans la remorque pour aller sur un autre lieu.
Trois chevreuils déjà.
Des recommandations avant de continuer.
Pas de route bitumée pour aujourd'hui.
Sur le lieu d'observation, un trace de chevreuil.
Un chien passe avec son grelot. Il chasse la bécasse lui !
Il est midi ! La pause casse-croûte se fera au pied d'un chêne.
Tout fusil doit être déchargé !
Derniers conseils avant un nouveau départ.
La trompe sert à rappeler les chiens qui se sont perdus !
Au lieu-dit le "renard pendu", les chasseurs ont laissé une trace.
Bien que l'on soit à la mi-décembre, la douceur est constante en cette fin d'année.
Trois des six chevreuils abattus aujour'hui.
Il faut passer au dépeçage et au partage du gibier.
Il faut pouvoir suspendre l'animal.
Dépecer la bête ne pose pas de problème en général aux chasseurs.
Tous les chasseurs n'auront pas leur moitié de chevreuils aujourd'hui. C'est chacun son tour !
A la fin de la chasse on échange les impressions de la journée.
Pour qui ces moitiés ?
Comme souvent, la chasse se termine autour d'un verre.
