Une quinzaine d'artistes implantés dans la résidence d'artistes des Vivres de l'art, proposent depuis 2011 des évènements indépendants autour des cultures urbaines. L'ancien commissariat sert ici de lieu d'exposition.
Deux temps de visite : une galerie d'artistes puis des créations éphémères directement dans des salles bientôt soumises à réhabilitation.
Une manière originale de la part des artistes, de remercier les nombreux bénévoles qui ont participé à la mise en place de l'exposition.
Lotus Rouge de 777 ARMY. Une œuvre que l'on doit regarder en se déplaçant si on veut trouver des êtres vivants cachés.
Un dimanche à Bacalan par les PARPAINTRES. Ils ont voulu reconstituer un chantier et se réaproprier les icônes de Bordeaux de manière humoristique.
Reconstitution de JONE. L'artiste intervient sur tous types de support et de plus en plus à partir de la récupération des déchets produits par le graffiti.
Un besoin urgent ?
Le décor vous aidera-t-il ?
Juste un morceau de ROOBLE. Rooble interroge notre rapport à l'image et à la différence.
Tunnel de SISMIKAZOT. Un état d'âme de la solitude...mais la lumière est là. Après la pluie, le soleil.
Nature urbaine de TRAKT & CREWER. Deux artistes qui travaillent en binôme sur la composition spatiale et picturale. Les formes suscitent notre imaginaire, elles évoquent toutes les choses cachées dans notre cerveau.
G.A.V. de SIKER. Cette installation dans un ancien commissariat de police pour rappeler qu'il a lui aussi été un détenu à cause de ses graffiti interdits.
Le cinquième élément de ODEG. L'artiste interroge nos rapports à la nature et à nos rythmes urbains.
La cabane dans les bois de TACK. La cabane est le thème récurrent de l'artiste : elle plante un décor, un espace de jeu où tout est possible.
Autoportrait manifeste d'ANDI D CALCUTTA. La seule croyance de l'artiste : l'art est sa seule religion, fatale mais non négociable.
Untitled de GASPAR. Plongé dans un atelier, l'artiste nous présente toute une palette de techniques graphiques et picturales.
The sound of silence par KENDO. Une œuvre inspirée d'une réflexion passagère sur ses origines et celles des étoiles.
La république de Kashink (détail)
Comment te sentirais-tu si tu étais tout petit dans une ruelle étroite et sombre ? de MOZONE. Élément d'un travail plus large sur le thème de l'inspiration, ici dans les bas-fonds de la ville.
Le titre est écrit ici... La suite sur la photo suivante...
MENA & HYBE nous invitent à pénétrer deux mondes distincts, la ville et sa face cachée au détour d'une ruelle.
L'aventure intérieure (détail) de SKINJACKIN. Intervenant habituellement sur la peau, ce collectif propose ici sa vision de ce qui se cache sous l'épiderme.
Un accueil détente dans la cour de l'ancien commissariat.
Le miroir aux tempêtes de LCDC. Inspiré des aventures de Barbarella, il symbolise l'entre deux mondes, entre le calme et la tempête. Il termine ma déhambulation à travers des œuvres vraiment originales.