A l'occasion de la fête du fleuve... Une roue si près du fleuve, quelle excellente idée !
La place des Quinconces paraît encore plus immense vue de là-haut.
Le tramway contourne inlassablement le monument aux Girondins.
Le toit du Grand-Théâtre, les flèches de la cathédrale Saint-André et sa tour Pey-Berland.
En se tournant vers les quais, on survole la fête du fleuve avec le fidèle Bélem.
Les ponts en enfilade barrent le fleuve.
On est bien tout là-haut. Sur la rive droite, le quartier de la Bastide nargue les tentes blanches de la fête du fleuve sur l'autre rive.
A chaque descente, j'aperçois un personnage vert qui semble vouloir coiffer Mercure en haut de sa colonne rostrale.
Mais Mercure, dieu du commerce et protecteur des voyageurs surveille le trafic sur les quais.
Les colonnes rostrales se refont une beauté. Celle de gauche attend la statue d'Artémis avant d'enlever son échaffaudage.
Les rostres, proues des navires.
Après des mois de travaux, elle est comme neuve, c'est à dire comme en 1828.
Le pont Chaban-Delmas et ses 53 m de hauteur est bien plus haut que la grande roue.
Au loin, les grues du quartier des Bassins à flot. Au premier plan, le podium de RTL2 et la foule.
Pendant 4 soirées, des dizaines de milliers de fans sont venus applaudir les vedettes des concerts gratuits.
La fête du fleuve, le samedi soir, les bateaux de la Solitaire sont partis.
La foule se presse vers le podium de RTL2.
Son animateur présente la vedette du jour.
Il s'agit de Charlie Winston.
L'ambiance est assurée.
Du haut de la roue, on ne peut pas imaginer l'ambiance que met le chanteur britannique.
Le chanteur et l'enfant.
Le concert est terminé, la vedette chantante est partie, l'autre vedette de la soirée tourne toujours.
Plus loin face à la place de la Bourse, 80 000 personnes admirent les feux d'artifice.
Têtes d'argent, feux d'artifice dorés. Quelle belle soirée !