Le mois de janvier 2010 a été le mois le plus froid depuis 1987. Pourtant, un dimanche matin, sur les quais, les courageux promeneurs s'offrent quand même un moment de tranquillité.
Il est 9 heures, le port s'éveille.
Le Royal est à quai, face à l'ancienne place royale (place de la Bourse).
Il a gelé très fort cette nuit-là. Le garde-corps au premier plan est tout blanc et inutilisable...
Pas d'amoureux qui se "bécotent sur les bancs publics" pourtant la vue est bien "sympatic".
Peu de voyageurs dans ce tramway matinal pour admirer les rayons du soleil jouer avec les façades de la Bourse.
Seuls les chatons mâles et femelles décorent l'aulne.
Quelques mouettes jouent avec le courant sur la Garonne.
La flèche Saint-Michel semble s'inviter à la terrasse du restaurant "l'estacade".
Sur la place des Quinconces, comme chaque mois de janvier, le cirque Arlette Gruss a dressé son nouveau chapiteau...
En face les oies cherchent leur pitance dans la vase.
La passerelle Kawamata et ses 120 mètres de long, nous invite au cirque.
A marée basse, la Garonne dépose ses débris sans demander si Bordeaux est classé UNESCO ou pas !
Chaudement vétu, il fait bon flaner rive droite...
C'est le matin que la lumière met le plus en évidence la façade des quais... et la Bourse maritime.
Des cubes verts en face des platanes des Quinconces, pour rappeler qu'un mètre cube de bois peut capter une tonne de C02. Ça laisse Montaigne de marbre !
Les laveurs de vitres ont toujours du travail sur les quais. Certains aèrent leur appartement malgré une température fraîche.
La Garonne est agitée en cette fin du mois de janvier. Il faut dire que les coefficients de marées sont au-dessus de 100.
Silhouettes sur pont de pierre.
Le pont de pierre côté amont capte tous les rayons du soleil.
Le quartier Saint-Michel au petit matin.
Il fut l'un des plus longs ponts du monde au XVIIIe siècle.
Berges luisantes à marée descendante. En arrière-plan, le pont Saint-Jean.
Ne pas doubler sous le pont !