Pour admirer la plus belle façade d'Europe, il faut un peu de recul. C'est de la rive droite qu'au fil des saisons les quais parfois apparaissent sublimes.
Les colonnes rostrales semblent en discussion avec le Génie ailé du monument aux Girondins.
A marée basse, des carcasses de bateaux coulés lors de la dernière guerre refont surface.
La façade du quai des Chartrons.
Le quartier des Chartrons
Le bateau-musée Colbert y a séjourné 14 ans avant de prendre sa retraite en Bretagne.
Les flèches jumelles de Saint-Louis des Chartrons se voient de loin.
Quand le soleil se mèle de la fête foraine, la place des Quinconces redouble d'animation.
Au crépuscule la porte Cailhau découpe encore plus sa silhouette.
La porte de Bourgogne près de la flèche Saint-Michel.
La flèche est visible de partout.
Quai de la Monnaie.
Le quartier de la gare avec le Conservatoire national de région André Malraux et le château Descas.
De l'ancien hôtel Fennwick à la Cité Mondiale, le soleil levant illumine la pierre blonde.
La rive gauche paraît moins minérale depuis les rives de La Bastide.
C'est bien de la rive droite aussi que l'on perçoit le plus le phénomène des marées.
L'ancienne place Royale est plus belle au soleil levant.
Les deux seuls témoignages des portes du Moyen Âge : la porte Cailhau et la Grosse Cloche.
Une des 12 œuvres de Bernar Venet nargue la rectitude des flèches de Saint-Louis des Chartrons.
Souhaitons que ces kayakistes apprécient le spectacle de la longue façade des quais.
