Les foires aux plaisirs, celle du printemps ou bien d'octobre-novembre offrent la possibilité de vivre des sensations fortes. La Grande Roue est certainement l'attraction la plus compatible avec la prise de vue.
Au gré du mouvement, dans votre nacelle, vous dominez la place des Quinconces mais aussi le reste de la ville.
A cette époque de l'année les platanes de la plus vaste place d'Europe ont pris des coulueurs chaudes.
Les nombreux manèges se renouvellent au fil des venues à Bordeaux.
La nacelle ronde de la Grande Roue permet de se tourner dans les sens. Premiers regards vers le centre ville de Bordeaux.
Une entrée vers la rue Sainte-Catherine, la plus longue rue commerçante d'Europe.
Tout près de l'entrée de la rue Sainte-Catherine, l'ancien hôtel de Rolly construit par Victor Louis en 1780 juste en face du Grand Théâtre. Il deviendra début 2008 un hôtel grand luxe.
La place de la Comédie et ses deux horloges pour ne pas manquer l'heure des spectacles de l'Opéra National de Bordeaux.
Ce lieu est très fréquenté essentiellement par les piétons et le tramway. La voiture n'a plus que le strict minimum pour circuler.
Piéton, vélo, tranway c'est le nouveau trio gagnant des déplacements dans Bordeaux. Ici le tramway est vide car en période d'essai sur le nouveau tronçon de la ligne C (Grand Parc puis Aubiers).
La tour Pey Berland coiffée de la statue dorée de Notre Dame d'Aquitaine toute proche de la cathédrale Saint André.
Du haut de la Grande roue, les rues semblent se dessiner comme un plan. De l'hémicyle des Quinconces part le cours du Maréchal Foch qu'emprunte récemment le tramway de la ligne C.
Ce cours est agréablement encadré par les platanes de la place des Quinconces et les arbres aux essences plus rares du Jardin Public voulu en 1746 par l'intendant Tourny.
En tournant la tête, la nature est moins présente : à gauche la basilique Saint Michel, au fond l'église du Sacré Cœur.
Le fait de s'élever de quelques dizaines de mètres au niveau du sol change complètement la perception de la ville. Ici le Grand Théâtre est coiffé de la Grosse cloche.
Presque à portée de main, la statue du monument aux Girondins semble bien seule.
La "Liberté ailée brisant ses chaînes" a vu évoluer la ville depuis 1893.
Pas si seule que ça !
On se demande pourquoi elle n'a jamais pris son envol !
Les députés girondins se sont distingués pendant la Révolution : G pour Girondins ? et le croissant de lune symbolisant la courbe de la Garonne à Bordeaux.
La Cité administrative est le seul "building" bordelais.
A gauche, la basilique Saint Seurin.
Les immeubles du quatier du Grand Parc sont sortis de terre entre 1960 et 1970. Certains arbres du Jardin Public au premier plan ont poussé bien avant eux.
Contraste entre les maisons du quartier des Chartrons et les grands ensembles du Grand Parc.
Sur les 12 ha de la plus grande place d'Europe, 6 ha sont plantés d'espace vert... Peut-on parler d'espace vert en automne ?
Bordeaux, port de la lune. La forme de la Garonne à cet endroit se retrouve dans le logo de la ville.
Le croiseur Colbert, qui a servi pendant 14 ans de musée, a quitté les quais bordelais. Mais pas le moindre bateau en vue. Bordeaux fut pourtant au XVIIIe siècle le 2e port mondial !
Les quelques hangars conservés sur le bord du fleuve ont été aménagés en zone commerciale pour le plus grand plaisir des Bordelais et des touristes. Au loin, le pont d'Aquitaine.
Le quartier des Chartrons avec au premier plan le bâtiment de la Mutualité Sociale Agricole, à droite la Cité mondiale et l'église Saint Louis des Chartrons.
Devinette : A qui appartiennent ces deux flèches ?
A l'église Saint Louis des Chartrons !
Tournons-nous vers l'amont du fleuve et ses ponts...
Magie du zoom : au premier plan les bâtiments de la place de la Bourse au loin la gare Saint Jean derrière les anciens chais Descas.
La basilique Saint Michel et sa flèche, la 2e plus haute de France.
Bordeaux et ses ponts. En aval de la place des Quninconces un seul pont : celui d'Aquitaine. En amont quatre ponts...
Le pont de pierre au premier plan fut construit en 1822. Le pont Saint-Jean en 1965.
On peut distinguer la passerelle Eiffel destinée aux passages des trains depuis 1860. On aperçoit aussi les piliers blancs du nouveau pont ferroviaire qui sera opérationnel en 2008. Il manque le pont Mitterand (1993) plus en amont.
Du haut de la Grande roue, la rive droite semble plantée à deux pas. Au bout du pont de Pierre, la caserne de pompiers de la Bastide construite en 1954 tranche par son style moderne.
L'église Sainte Marie de la Bastide se voit de loin et encore plus la nuit grâce à un éclairage la mettant parfaitement en valeur.
Les colonnes rostrales à l'extrêmité est de la place, sont depuis 1828, face au fleuve.
Les statues de la Marine et du Commerce coiffent les 21 m de hauteur des colonnes.
Rive gauche et rive droite ne veulent plus rien dire de là-haut !
Quelques bateaux encore sont amarrés rive droite.
La Grande roue permet une vision de Bordeaux extraordinaire. Mais Notre Dame du Cypressat sur la colline de Cenon offre à qui veut bien se déplacer un spectacle aussi insolite.